Pourquoi investir dans l’immobilier en 2022 ?

L’immobilier est un vaste domaine qui représente d’innombrables opportunités d’affaires. La crise qui a touché le monde après la pandémie de Covid-19 continue à faire des ravages dans le secteur de l’économie. Pourtant, le secteur de l’immobilier a été épargné semble-t-il.

Un taux d’intérêt bas

Il y a 20 ans, le taux moyen d’un crédit immobilier était de 5%. Ce taux a diminué progressivement et a atteint un pourcentage de 1,14% à la fin de l’année 2019 selon le Haut Conseil de stabilité financière. 2020 a semblé être une année propice pour des investissements.

De ce fait, beaucoup d’injection monétaire dans le domaine a fait augmenter ce taux. Mais la Covid-19 qui s’est propagée dans le monde a contraint les banquiers, à nouveau, à diminuer le taux d’investissement immobilier et à faciliter l’obtention d’un prêt.

Ce phénomène est toujours d’actualité jusqu’ à maintenant, et probablement continuera en 2022. Votre investissement sera encore plus rentable si vous avez un apport personnel d’un montant assez important.

Un prix d’achat immobilier haut

De 2010 à 2020, le prix de l’immobilier à augmenté de 22% selon un rapport de l’INSEE. Ce qui nous donne un indice sur le dynamisme du marché de l’immobilier. En effet, ce secteur est sans cesse en remaniement.

En effet, une maison ou un appartement ne reste pas longtemps entre les mains d’une seule personne. Avant d’être remis en vente, les logements sont toujours réhabilités. Parfois, ils ont les peintures refaites à neuf, de nouveaux éclairages ou un nouveau carrelage.

De ce fait, les prix augmentent de plus en plus, surtout que le taux d’investissement immobilier diminue. En 2021, la France a enregistré une hausse de prix des biens immobiliers de 5,84% en seulement une année.

Pourtant, localement, le taux de crédit immobilier a un peu augmenté par rapport à l’année précédente. L’agglomération et le coût élevé de la vie à Paris à inciter les investisseurs à saisir des opportunités d’achat ou de location de biens dans la périphérie.

De plus, le nombre de demandes a augmenté progressivement ces derniers mois. Ces dernière sont  composées en majorité par des demandes de devis pour des logements neufs avec 25% d’augmentation. Mais que ce soit investir dans un bien neuf ou un bien ancien, le secteur est toujours rentable.

Impact de la pandémie de Covid-19

Depuis 2019, la pandémie a contraint les personnes du monde entier à rester chez eux pour une question de sécurité. De plus, il a été conseillé de ne pas trop se mêler aux gens autour de nous même si ce sont des connaissances.

Donc, les logements en appartement ou en colocation ne sont plus d’actualités. Beaucoup de Français veulent des logements spacieux dans la périphérie avec un jardin clôturé. Et évidemment, un logement est destiné à une seule famille.

Les termes calme, isolé ou encore jardin sont des caractéristiques qui reviennent souvent dans les demandes de logement ces derniers temps. Les villes en périphérie choisies ne doivent pas non plus être loin des grandes villes. Prenons Pessac, qui est proche de Bordeaux ou Saint-Ouen qui est non loin de Paris.

A part le logement, la pandémie de Covid-19 a eu des impacts négatifs sur le domaine du travail en général. En effet, les personnes qui ont travaillé dans les secteurs comme le tourisme, l’hôtellerie et l’aviation ont souffert de la fermeture des frontières.

Ainsi, beaucoup d’entre eux ont choisi de se reconvertir professionnellement. Certains ont acheté des maisons ou des appartements pour ensuite les revendre à un prix élevé au moment où leur valeur significative allait augmenter.

D’autres ont investi dans des bâtiments qu’ils peuvent louer en  ant que petits locaux destinés aux pizzerias, aux petits restaurants ou encore aux salons de coiffures. Ces derniers représentent des sources de revenus mensuels assez stables.

Suppression de la taxe d’habitation

Notons que la taxe d’habitation fait partie des impôt locaux qui doit être payé par le propriétaire ou l’occupant d’un logement pour une année donnée. Le montant de celle-ci dépend de la situation du contribuable, du lieu d’implantation du logement à louer et des caractéristiques de celui-ci.

Il est à préciser que cette taxe s’applique à tout type de logement occupé, que ce soit une maison, un appartement, un immeuble ou même un bateau. Ainsi, cette taxe ne sera pas payée pour un logement inoccupé. D’autre part, si le locataire déménage au cours de l’année, c’est lui qui doit payer la taxe enregistrée en début d’année.

Depuis 2018, la taxe d’habitation a diminué progressivement qu’en 2020, 80% des Français ne sont plus soumis à cette taxe sur la résidence principale. En 2022, les 20% restants bénéficieront d’une baisse de 65%.

La loi Pinel

Il s’agit d’une défiscalisation qui permet de réduire l’impôt sur le revenu. Ainsi, si vous envisagez de louer un logement pour 6 ans, vous aurez le droit à une baisse de 12% sur le prix d’achat d’un bien immobilier. Pour 9 ans de location, vous pouvez bénéficier de 18% de réduction.

Cette dernière peut aller jusqu’à 21%, pour une location de 12 ans. Afin d’avoir droit à ces avantages, vous devez élire domicile en France, choisir des locaux neufs dans des zones qui ont un marché immobilier déséquilibré ou encore louer à des propriétaires défavorisés.

Ceci dit, avant de pouvoir exiger l’application de la loi Pinel, il faut vérifier votre éligibilité par l’intermédiaire de plusieurs critères de qualification.

Prévisions positives des ventes pour 2022

A titre de rappel, la vente de l’immobilier résidentiel a été très instable au Canada, comme dans le monde. Le chiffre de vente dans le secteur de l’immobilier a tellement baissé qu’il a presque atteint la situation catastrophique de la crise économique de 2008 et de 2009.

Contrairement à cela, 2021 a été l’année des opportunités d’affaires dans les investissements immobiliers. En effet, l’ACI ou Association canadienne de l’immeuble a chiffré 585 250 ventes seulement au mois d’août 2021 et 650 000 à la moitié du mois de Décembre.

Le prix des logements a augmenté jusqu’à 20% et cette envolée sera encore plus importante en 2022 selon l’ACI. Prenons encore l’exemple du Canada, l’ACI prévoit que 668 000 logements seront prochainement mis en vente et que le prix augmentera de 21% de plus par rapport à celui de 2020.

A l’échelle mondiale, l’offre n’a jamais été aussi insuffisante par rapport à la demande fulgurante. Ceci est dû à la Covid-19. Entendu que cette dernière n’est pas prête de disparaitre, au contraire, elle évolue et s’adapte aux conditions climatiques.

Les gens veulent alors s’isoler les uns des autres un peu plus chaque jour afin de se protéger. 2022 s’annonce encore meilleur que 2021 pour le secteur de l’immobilier.